Pour arriver de bonne heure à Pise nous prenons la route de bonne heure et sans traîner que nous allons payer notre nuitée (7 € ).
Bon autant le dire de suite, la route de la corniche est jolie, pas de superlatif, c’est seulement jolie.
Afin d’éviter une perte de temps excessive nous prenons la aussi l’autoroute, à ma grande surprise il n’est pas plus cher qu’en France !
Sur le grand ruban c’est le bazar ça déboule de partout, bouchonne dés que l’on s’approche d’une grande ville. C’est bien simple nous avons mis 8 h pour faire 320 km et nous ne sommes qu’en début avril, je n’ose imaginer en juillet !
Arrivée à Pise, je suis sur la réserve de gasoil, va falloir trouver et rapidement du jus pour la bête. A l’entrée de la ville je me fais servir 50 € de mazout pour le Fiat, ouf il était temps. Un peu plus tard nous entrons dans Pise avec le même bazar que les villes traversées, fort heureusement le GPS nous guide sans encombre sur un parking semble t’il réservé aux véhicules de loisirs.
Un gros bout de goudron qui renifle la m… . Sur place six, sept camions, à mon avis il doit exister une autre chose…. Selon la tournure des choses et la visite du centre nous prendrons peut être un camping demain car nous prévoyons de rester deux ou trois jours. Je profite de cette étape pour descendre les vélos et installer le panier pour le chien.
Samedi 7 avril
Contrairement à une certaine crainte la nuit fut calme, le chien ne nous a pas réveillé et malgré la circulation de la route située à 150 m, rien à signaler !
Par habitude nous nous levons tôt le matin pour profiter des petites fraîcheurs matinales où l’alignement des étales prend vie dans les yeux mis-clos des détaillants.
Plutôt facile à trouver le centre ville et au centre trône, église, basilic et la fameuse tour de Pise qui semble chuter bien plus que nous le pensions.
Une partie de la ville a été classée au patrimoine mondiale de l’humanité en 1982. La place du Duomo (ancienne Place des Miracles) comprend l'église, le baptistère, le cimetière et le campanile (la tour penchée).
C'est au sommet de la tour de Pise que Galilée aurait testé sa loi de la chute des corps. L’heure avance et les touristes affluent par paquets de quarante précédés par un parapluie aux couleurs de leur guide. Je fini même par ne plus photographier la tour et les environs tant les Nippons jouent devant l’édifice incliné.
Je joue du déclencheur et mémorise leurs mimiques, ils s’efforcent de maintenir le campanile avant la chute, c’est un spectacle à lui seul.
Nous rentrons à la maison (comprenez notre baladeur …), déposons le chien puis partons au marché.
Marché comme il en existe en France, avec ses lots de strings à 3 € les cinq, puis quelques spécialités Italiennes que l’on achète histoire de ne pas regretter d’être passer devant ces devantures. Jambons du pays et petits pains spéciaux feront notre apéritif du midi.
Petite sieste dans l’après-midi avant de remonter sur nos vélos pour retourner et cette fois sans notre compagnon, Ben, en centre ville.
De nouveau la fameuse tour et la cathédrale nous emportent par la beauté et l’étrangeté de cette tour qui menace de tomber. Nous déambulons dans les rues de la citée où une brocante à lieu, il fait chaud, tout au moins pour nous, nous somme en t-shirt et les locaux en manteau ou pull….
Au retour nous retrouvons notre Ben familial ; allons le promener un peu avant de repartir faire des courses au supermarché Carrefour qui se situe à cinq cents mètres de là. On y achète bien évidemment des pattes et des sauces que l’on ne trouve pas en France, le règlement en carte bleu entraînent des frais.
A savoir qu’il n’est pas nécessaire de composer le code et qu’un ticket doit être signé.
Le reste de l’après-midi se termine par la vidange de la cassette, doux moments de bonheur lorsque celle ci est pleine mais aussi la fosse, j’en dis pas plus …
Après la douche je tire le groupe électrogène pour recharger batteries et ordinateur sur lequel je suis en train d’écrire.
Une connexion sans fils non sécurisée est détecté par mon ordinateur mais je ne parviens pas à m’y coller, dommage.
A suivre....
, j'avoue que les photos et le récit sont magnifique on continue de lire et regarder cela avec plaisir et attention 
voyageur 18
