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Les 1ères années , tout était préparé : itinéraire , timing , aires etc . Difficile à tenir, obligation de se presser alors qu'on aurait pu ( ou dû ) passer le double de temps ... donc maintenant , des sites à voir , un pré tracé sur la carte , et puis , au gré du vent . Nous n'avons jamais "trop" peiné à nous poser , ni à se ravitailler en eau . Ce , à l'étranger . En France , le guide de la région , la carte , et puis c'est tout. Se poser , en demandant , on trouve toujours, l'eau , pas de soucis majeurs , sauf en hiver.
Mais , on est deux à être d'accord sur ce principe . Si ton (ta ) copilote , n'apprécie pas l'aventure (avec un petit a) , je l'admet sans soucis , l'important : que ça plaise aux deux et que ce ne devienne pas une épreuve pénible.
Jean

Bonjour ,
la préparation de l'itinéraire point A point B , c'est comme les bonnes résolutions du 1er janvier . Et on passera dire bonjour au copain en passant .
point A pas de problème je connais , on se fixe un point B et départ . Problème , en route , oh , regarde la maxi brocante , y'a au moins mille exposants et hop un arrêt , et on repart oh , regarde le super parc et y'a des cc garés au fond , et hop un arrêt , et ainsi de suite , regarde le village médiéval et clic et clic l'appareil photo , retour maison , jamais vu le point B et pas vu le copain .

On se dit que se sera pour la prochaine fois , car si je veux atteindre un point B , il me faut des œillères , je monte sur l'autoroute et direct à destination .

A +

Généralement nous connaissons notre première étape, rarement à plus de 150 km, et ensuite... eh bien au gré de l'humeur, du temps, de la lecture des journaux régionaux. Je vois que nous sommes de nombreux adeptes de cette façon de faire.

Amicalement,

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