A Madame Teleben,
Vous m’obligez Madame,
De tous les sonnets que l’on me fit
Le vôtre est, Dieu me damne
Le plus cinglant et si bien dit.
Votre courroux ne se conçoit
Que si par devant je n’étais !
Votre serviteur comme il se doit
Plein de ferveur hébétée.
Mais de grâce pour son salut
Dites a votre époux je vous prie
Que pour les ablutions que j’ai vues !
Il soit prudent et reste en vie.
Votre plus serviteur, Robin.